Mais lorsqu’elle a dû quitter sa ferme, elle s’est retrouvée sans rien. Les animaux étaient menacés d’endormissement – jusqu’à ce que Gut Aiderbichl promette de l’aide. Grâce aux efforts conjugués de l’équipe de sauvetage des animaux, un abri mobile a été construit à Gut Aiderbichl Eslarn pour les 300 moutons et chèvres. Aujourd’hui, au printemps, nous sommes confrontés à un nouveau défi, car nous avons plus de 100 agneaux et chevreaux…
Les sauveteurs d'animaux de Gut Aiderbichl en action
Mise à jour 4 :
Surprise ! Une alarme bébé inattendue
De nouveaux agneaux et chevreaux naissent presque tous les jours.
Lorsque nous avons accueilli environ 300 moutons et chèvres sauvés l’automne dernier, nous avions déjà le pressentiment que nous pourrions attendre une descendance. Après un appel à l’aide désespéré de la sauveteuse Evi, qui a dû abandonner son refuge, nous avons tout mis en œuvre pour mettre ses animaux à l’abri. Grâce au soutien généreux de nos fidèles supporters, nous avons réussi et nous nous sommes rapidement rendu compte que certaines des bêtes étaient enceintes. Mais l’ampleur de ce baby-boom nous a tous surpris !
À ce jour, plus de 100 agneaux et chevreaux ont vu le jour, et ce chiffre ne cesse de croître ! Nos gardiens dévoués travaillent 24 heures sur 24 pour assurer le bien-être de ces petits miracles.
Nous sommes actuellement confrontés au défi de fournir des soins appropriés à plus de 100 agneaux et chevreaux nouveau-nés. Nous avons aménagé des zones spéciales avec des lampes chauffantes dans nos tentes d’écurie pour répondre aux besoins des jeunes animaux. Cependant, ces installations sont déjà surpeuplées et il est urgent de trouver des locaux supplémentaires.
Les igloos pour veaux sont une alternative prometteuse pour couvrir les besoins en espace tout en garantissant la santé des animaux. Cependant, à environ 500 euros pièce, ces abris représentent une charge financière considérable. En plus des défis liés à l’hébergement, nous devons faire face à d’énormes frais vétérinaires, qui absorbent déjà une part importante de nos fonds.
Aidez-nous par un don à faire en sorte que ces jeunes animaux reçoivent les meilleurs soins possibles pour grandir en bonne santé.
Toute l'histoire
Votre engagement en faveur des animaux pourrait bientôt prendre fin
Elle est régulièrement sollicitée par des vétérinaires, des amis des animaux et des particuliers pour apporter son aide lorsque des moutons et des chèvres sont remis ou confisqués. Elle s’occupe aujourd’hui de plus de 300 animaux dans une ancienne ferme avec une petite équipe.
Mais son engagement en faveur des animaux pourrait bientôt prendre fin. Les hausses de prix de ces dernières années ont fait exploser le coût des soins aux animaux. De plus, des problèmes avec le propriétaire de la ferme ont aggravé la situation.
Qu'adviendra-t-il de mes animaux maintenant ?
Eveline Treischl et ses employés n’ont plus d’eau chaude ni de gaz depuis longtemps. Les réparations nécessaires aux écuries ne peuvent plus être effectuées. Mais ils continuent, pour le bien des animaux. Même si cela signifie qu’ils doivent transporter péniblement, dans des seaux, de la nourriture et de l’eau potable pour les 300 animaux dans l’étable. « Donner une chance à ceux qui n’en ont pas est la mission de Mme Treischl dans la vie, mais elle doit maintenant quitter la ferme pour de bon. « Qu’adviendra-t-il de mes animaux maintenant ? », se lamente Mme Treischl, les larmes aux yeux.
Tous les animaux du Lebenshof doivent devenir des Aiderbichler.
Il n’y a qu’une seule solution : tous les animaux du Lebenshof doivent être déplacés. Mais avec plus de 300 animaux, dont certains sont gravement malades, la tâche s’avère presque impossible. Mme Treischl a déjà tout essayé, mais qui peut offrir un nouveau foyer à autant d’animaux à la fois ? Elle a alors appelé Gut Aiderbichl à l’aide. Elle sait que cette organisation de protection des animaux a beaucoup d’expérience en matière de sauvetage d’animaux. Mais un nombre de plus de 300 moutons et chèvres représente un énorme défi, même pour Gut Aiderbichl. « Nous sommes leur dernier espoir », explique Dieter Ehrengruber, directeur général et membre du conseil de fondation. « L’alternative serait d’euthanasier 300 animaux, ce qui va à l’encontre de la philosophie d’Aiderbichl. C’est pourquoi nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir ! »
1ère mise à jour :
Nous aidons sur place !
Une équipe de sauveteurs animaliers de Gut Aiderbichl s’est rendue au sanctuaire pour clarifier les besoins médicaux des animaux.
Certains animaux sont gravement malades. Ils ont besoin de soins médicaux continus. Malheureusement, nous n’avons pas encore atteint notre objectif, puisque la totalité des plus de 300 moutons et chèvres doivent devenir des Aiderbichler. Nous sommes déjà en contact étroit avec le vétérinaire officiel responsable et nous clarifions les conditions nécessaires au transport de plus de 300 animaux, dont beaucoup ont des besoins particuliers.
2ème mise à jour :
Un pas de plus dans la bonne direction
Nous nous sommes encore rapprochés de notre objectif, et ce uniquement grâce à l’incroyable générosité de nombreuses personnes aimant les animaux. Une équipe de plusieurs personnes de Gut Aiderbichl est sur place dans l’Allgäu : aujourd’hui, les premières marques auriculaires tant attendues sont collectées à la ferme.
Les marques auriculaires sont un sujet controversé, mais dans de nombreux pays, dont l’Autriche et l’Allemagne, elles sont obligatoires en vertu de la loi.
Sans ces marques auriculaires, nous ne sommes pas autorisés à transporter plus de 300 animaux et les examens médicaux nécessaires par un vétérinaire officiel ne seraient pas possibles !
Chaque marque auriculaire contient un numéro individuel. Ce numéro est enregistré dans une base de données centrale. Il permet notamment de retrouver les animaux en cas de maladie ou d’épidémie et de vérifier le respect de la réglementation en matière de bien-être animal.
« Pas à pas, nous nous rapprochons de notre objectif – le sauvetage de plus de 300 animaux innocents », déclare le directeur général Dieter Ehrengruber. « Nous travaillons actuellement d’arrache-pied pour voir si nous pouvons organiser une étable mobile dans un avenir proche ! ».
3ème mise à jour :
Plus de 300 animaux ont été sauvés de l'endormissement !
Ces dernières semaines ont été difficiles pour Gut Aiderbichl et l’équipe de sauvetage des animaux. Gut Aiderbichl a récemment reçu un appel à l’aide de la région de l’Allgäu : une ferme entière devait être évacuée. Alors que la menace d’euthanasie des animaux se rapprochait, Eveline a demandé de l’aide à Gut Aiderbichl. « Depuis que l’appel à l’aide d’Eveline nous est parvenu, nous n’avons rien négligé pour l’aider, elle et les nombreux animaux innocents », déclare Dieter Ehrengruber. L’ensemble de l’équipe de sauvetage des animaux de Gut Aiderbichl peut se targuer d’avoir passé quelques semaines éprouvantes pour les nerfs.
L’hébergement des animaux a longtemps constitué un défi majeur. Nos plus de 30 fermes n’offraient pas assez d’espace pour accueillir 300 animaux à la fois et les loger de manière appropriée à leur espèce. Mais notre équipe n’a pas baissé les bras et a été récompensée pour sa persévérance, car lorsqu’il s’agit d’animaux, nous pouvons passer de 0 à 100 ! Une tente d’écurie mobile a été montée en un rien de temps sur le terrain de Gut Aiderbichl à Eslarn (Allemagne). « Nous avons travaillé sans relâche, même la nuit, et nous avons réussi à le faire à la toute dernière minute », explique Michael Meckl de Gut Aiderbichl à Eslarn. Les conditions météorologiques de ces dernières semaines nous ont beaucoup aidés.
Nous avons travaillé de la manière qui caractérise Gut Aiderbichl : rapidement et efficacement. Et maintenant, c’est fait ! Environ 300 chèvres et moutons profitent des prairies encore vertes de Gut Aiderbichl à Eslarn.
Nous sommes incroyablement fiers et reconnaissants de l’important soutien dont nous avons bénéficié. Mais nous pensons déjà à l’avenir : « La nourriture, les soins médicaux pour les animaux souffrant de maladies chroniques continueront à être un défi pour nous« , déclare Dieter Ehrengruber. L’approche de l’hiver pose un autre problème, car l’étable mobile doit être adaptée aux conditions météorologiques.
